dimanche 20 avril 2014

20/04 - VACCINATION : ERREUR MEDICALE DU SIECLE


La suite de cet article très complet :

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AUTRE ARTICLE - ON NOUS AURAIT DONC MENTI ?
DE GRAVES INTERROGATIONS : 

 Les vaccins contiennent des l'hydroxyde d'aluminium à des doses 30 fois supérieurs au seuil 
toxique, du sérum de veau, des cellules cancérisée, et des dérivés du mercure. Ils sont responsables de 
milliers de maladies neurologiques graves, sclérose en plaques, encéphalites, morts subites du 
nourrisson… Le personnel des hôpitaux, les rares fois où il fait la relation de cause à effet entre le 
vaccin et la maladie, aurait la consigne de ne rien dire aux familles. 
 Depuis 1994 les substances d'origine bovines sont interdites dans les produits pharmaceutiques. Or, 
le B.C.G. est fabriqué à partir de la bile de boeuf. Ainsi la Loi nous oblige à administrer à nos enfants 
des produits qu'elle interdit par ailleurs !… 
Bien plus, la Loi oblige avant tout acte vaccinal, de prendre «toutes les précautions», c'est-à-dire 
de procéder à) des examens destinés à dépister d'éventuels risques graves pour chaque individu. Mais 
seuls les vétérinaires le font pour les animaux !... 

 Ces risques valent-ils la peine d'être courus ? 
Depuis un siècle, à chaque campagne de 
vaccination, tant en Europe qu'en Afrique ou en Asie, le nombre de cas de la maladie que l'on 
combattait s'est toujours multiplié par 4, voire par 6 dans les mois qui ont suivi (variole aux Philippines 
en 1918, polio en France en 1956, récemment méningite en Afrique, etc.). 

La suite : 

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Souvenez-vous du H1N1 ! Ici le Bilan :
NEUF RAISONS DE NE PAS VOUS FAIRE VACCINER CONTRE LA GRIPPE A H1N1

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Après une Vaccination, que se passe-t-il dans l’organisme !


Dès l’injection, il peut donner une réaction allergique brutale, et provoquer un choc qui met la vie en danger, comme toute injection de substance étrangère traversant la barrière protectrice de la peau. Cela est classique, reconnu par les fabricants et annoncé aux professionnels qui assument le risque de leur geste


 Dans les heures qui suivent, l’organisme "encaisse" le coup. C’est le grand branle-bas à l’intérieur du corps. Le vacciné réagit comme réagirait un pays, dont une région est frappée par une bombe atomique, et dont le souffle l’a balayé en entier, bousculant les édifices, les barrages, les groupes de travailleurs, les écoliers et les bosquets tranquilles. Une mobilisation brutale car artificielle est nécessaire.

  • Il faut faire face au danger présent dans l’intimité du corps. La consommation en vitamines augmente d’un coup, et de façon phénoménale, pour assurer les besoins énergétiques exceptionnels des cellules de défense spécifiques, les troupes de réserve, que l’on ne mobilise et que l’on n’équipe à grands frais que dans les cas extrêmes où la vie est en jeu. Il s’en suit une période de fatigue plus ou moins intense, selon les individus, et plus ou moins longue, qui peut durer toute la vie, souvent à l’insu du vacciné. Le vaccin amène à l’intérieur du corps plusieurs messages de mort, pour que le stress ainsi provoqué l’oblige à mobiliser les systèmes de défense, qui sont habituellement bloqués par tout une gamme de sécurités pour le bien et l’équilibre de la vie ordinaire.
  • - Il s’agit des messages toxiques des "adjuvants ", des conservateurs et des résidus de fabrication, (on utilise surtout, comme adjuvants, des dérivés de l’aluminium et du phosphore ; les dérivés mercuriels sont présents à titre de conservateurs ; les trois métaux sont de redoutables destructeurs du système nerveux et du foie).
On suppose que ces injections toxiques qui ne peuvent être éliminées par le corps la vie durant, favorisent les convulsions "hyperthermiques" des enfants et tout un cortège de troubles psychiatriques et dégénératifs.
  • - Il s’agit aussi, et plus logiquement cette fois, de l’information "maladie" qui se veut spécifique et qui se veut limiter à la maladie mortelle contre laquelle on prétend "immuniser" et donc protéger le vacciné. Cette information "maladie" est calculée pour durer le plus longtemps possible, et donner naissance à des anticorps spécifiques, qui seraient "protecteurs".
Passons sur le fait qu’à côté de l’information spécifique, les vaccins contiennent, surtout pour les plus récents issus du "génie génétique", des résidus d’ADN provenant des cultures cellulaires cancéreuses hybridées, ainsi que des enzymes "mutagènes" de ces milieux de cultures dans leur bain de croissance pour ces cellules cancéreuses. Des vaccins plus anciens, comme celui contre la poliomyélite peuvent contenir des traces des virus dangereux comme le virus SV40, ou comme celui contre la grippe qui peut contenir des traces de virus des poules dangereux pour l’homme.
  • 3. Dans les semaines, les mois et les années qui suivent, l’organisme doit payer à doses filées, continues, le prix d’une protection supposée.
  • De par sa logique de survie, une fois surmonté le choc toxique, l’organisme va entretenir l’information mortelle ou dangereuse reçue par le vaccin. Cette information est d’abord immatérielle, vibratoire, constamment répétée et relue par les "centres de commande" certainement situés dans le cerveau. Que l’on fasse ou non des "rappels" de vaccins n’agit certainement pas sur cette composante essentielle. Le support matériel de l’information est, à n’en pas douter, le sang, le "proteion" du Dr Bernard VIAL. Les cellules cérébrales vibrent à la reconnaissance des structures spatiales des protéines du sang.
-* Cette activité nécessite un milieu physico-chimique particulier, dont les caractéristiques ont été précisées par Louis Claude Vincent.
  • Ensuite l’information s’entretient par le renouvellement des cellules "mémoire", et enfin par le travail soutenu des "lymphocytes B", les usines à anticorps. Tout cela consomme une énergie précieuse car tout a un prix. L’énergie consacrée à la "défense bidon" et au nettoyage des déchets de la guerre factice, va manquer à l’activité ordinaire de la vie, création, résistance du corps, harmonie des relations, sport, art, sexualité, spiritualité... etc... Il s’ensuit une perte sournoise, presque imperceptible, de la qualité de vie.
  • Cette énergie consacrée à "couler du béton" pour la forteresse, finit par se matérialiser sous forme d’anticorps, de complexes immuns et divers déchets cellulaires qui ne pourront jamais s’éliminer, sauf par suppuration, suintement ou stockage dans le pannicule adipeux, (la "cellulite"), dans les fibromes de l’utérus, du sein ou de la prostate. L’autre aspect évident de cette mobilisation ponctuelle, est que l’organisme occupé à "encaisser le vaccin", dégarnit le front du côté des autres facteurs agressifs du biotope. (staphylocoques, streptocoques, haemophilus, virus de toutes sortes, dont la virulence permet à l’organisme de tenter un rétablissement).
  • Il est habituel de voir les enfants vaccinés obligés de fréquenter régulièrement les cabinets médicaux, où ils rencontrent l’antibiothérapie et les anti-inflammatoires, qui leur enlèvent encore les moyens d’un retour durable à la santé. Cette guerre constante va aussi consommer les précieux oligo-éléments, brûler le magnésium, étouffer les cellules et faire dériver le terrain vers des états préoccupants.
  • Le nom homéopathique de ce procédé est la sycose. (le synonyme est vieillissement). Il est aussi logique de penser que l’épreuve de fond imposée à de jeunes organismes immatures au plan immunitaire, leur fasse perdre la cohésion de leur système de défense, et les précipite vers des affections type leucémie.

Donc chaque vaccination va donner naissance à une MALADIE CHRONIQUE, avec tout un cortège de signes physiques et modifications du caractère et des comportements. Le BCG, vaccin vivant, va provoquer un tuberculinisme, avec plus ou moins de succès selon la robustesse de l’enfant et son hérédité familiale.

On verra chuter dans le sang les populations anticorps avec parfois "sidération immunitaire", et arriver sur le corps les atopies, les allergies, l’acné, les spasmophilies, les fragilités, transpiration nocturne... Sur le plan psychologique, on trouve manque de volonté, faiblesses de caractère, insatisfaction, méchanceté, désir de changement, colères soudaines, peur des chiens...
  • Les autres vaccins provoqueront plutôt de la sycose, avec montée des anticorps et des complexes immuns, prise de poids irréductible, grosses fesses à la ménopause, adénomes du sein et de la prostate, cellulite, rhumatismes, polyarthrites... impatience, précipitation, instabilité du caractère, sautes d’humeur, pulsions et sexualité qui passent du refoulement à l’explosion. On voit parfois des "sycoses sèches", où l’on constate un amaigrissement irréductible à la place de l’obésité.
  • Les dérivés d’aluminium et du mercure des vaccins, se rajoutent à ceux des amalgames dentaires pour provoquer une troisième catégorie de "mode réactionnel" connue des homéopathes sous le nom de "luèse", appelée par les anciens médecins "hérédosyphilis", ou encore improprement "fluorisme". Là on constate des affections brutales, telles que ulcère gastrique, rupture d’anévrismes artériels ou moins brutales comme la sclérose en plaques, le lupus, l’Alzheimer... les grandes maladies psychiatriques dissociatives, les comportements pervers, l’auto-agressivité, anxiété, les peurs de tout... surtout allongé et la nuit, horreur de la saleté avec rituel de lavage, superstition... etc...
Docteur Philippe Sturer
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LA VACCINATION ANTIGRIPPALE FAVORISERAIT LES AVC


Vacciner la femme enceinte pour protéger les enfants de l’autisme ! Décidément, tout est vraiment bon pour redorer le blason du vaccin antigrippal qui tombe de plus en plus en désaffection : après avoir prétendu que le vaccin antigrippal protégeait soi-disant des crises cardiaques et des AVC (alors que c’est justement l’inverse, les indices indiquant que la vaccination antigrippale favorise plutôt les AVC !).

On croit vraiment rêver :

Dans les années 70, le taux d’autisme était de 1/40 000 environ alors qu’il monte jusque 1/38 dans des pays comme le Royaume-Uni. Prétendre comme le font certains que seuls des aspects génétiques et diagnostiques (meilleurs diagnostics) expliquent cette hausse, est tout simplement non crédible. La vérité c’est que cela ne suffit pas à expliquer ces hausses, la vaccination des enfants qui a plus que doublé en 20 ans est un des éléments-clés, de nombreux parents en témoignent et plusieurs études convergent également en ce sens.

 Il existe deux types d’autisme :

l’autisme inné et l’autisme régressif, le premier survient très précocement mais l’autre, le plus fréquent, ne commence à se déclarer qu’après une période tout à fait normale de développement de l’enfant. C’est cet autisme-là qui explose le plus et qui est lié de façon très nette aux vaccins, même si personne n’a jamais prétendu que cela était la seule cause possible.

 Le Dr Bernardine Healy, ancienne directrice de l’Institut américain de Médecine l’a bien fait comprendre dans une interview à la chaîne CBS :

« certains enfants prédisposés vont être sacrifiés avec la vaccination parce qu’ils auraient pu ne pas tomber malades s’ils avaient été dépistés et s’ils avaient ainsi pu éviter cette vaccination qu’ils n’étaient pas à même de supporter. » Mais il n’y a pas du tout cette volonté de dépister ces gens plus sensibles avant le drame de la vaccination, parce que les officiels ont tout simplement peur que cela rebute d’autres gens de se faire eux vacciner comme de gentils moutons dociles.
A présent, alors que certains groupes de scientifiques liés aux labos (comme le GEIG en France) déclarent qu’ "il faut sauver le vaccin antigrippe", on assiste à des tentatives diverses et variées de remettre en grâce ce vaccin avec telle ou telle étude ciblée censée prouver toutes sortes d’avantages indirects.
Pour ceux qui ont un peu lu sur la dangerosité accrue d’exposer les femmes enceintes à des produits chimiques quels qu’ils soient vu la fragilité du fœtus, l’immaturité de sa barrière hémato-encéphalique et le fait que l’exposition précoce aux produits chimiques, au cours de la vie fœtale et peu après la naissance, est une cause de maladies graves pouvant ne se déclarer qu’à l’âge adulte, ce genre de conseils pseudo-scientifiques les fera sourire ou, plus probablement, les mettra en colère tant il s’agit de recommandations irresponsables, faisant fi de tous les autres types de risques qui pourraient annihiler le moindre bénéfice promis, en plus de faire un croc-en-jambe inacceptable au plus élémentaire principe de précaution.

LES VACCINS ANTIGRIPPAUX TRIPLENT LE TAUX D’HOSPITALISATION CHEZ LES ENFANTS

Dautres articles ici :

Des livres de 2 battantes ! :
 LA MAFIA MEDICALE. Ghislaine Lanctôt

Comment s'en sortir et retrouver santé et prospérité de Ghis (Ghislaine Lanctôt), docteure canadienne,
Le livre :
J'ai une passion : la santé illimité. Pour réaliser mon rêve, j'ai suivi un cours de médecine. Durant plusieurs années je fus convaincue d'être sur la bonne voie. La réalité fut tout autre. Les pensées et les émotions, ces invisibles et impalpables traîtresses, boycottaient insidieusement mon rigoureux travail scientifique. Je me tournai alors vers une autre avenue qui offrait d'autres solutions pour une santé globale : médecines douces, thérapies naturelles. Je parcourus de nombreux pays et découvris leurs bienfaits. Mais les gens continuaient à souffrir et à mourir quand même. Pourquoi ? Ne sachant plus où aller, je revins au plus profond de moi-même. La santé illimitée m'y attendait ! Guylaine Lanctôt

Vidéo : La Mafia Médicale par GHIS

SYLVIE SIMON
Son site :

Vaccin hépatite B. Les coulisses d'un scandale
Dans le monde entier, avec la connivence de l'OMS et de divers gouvernements, les fabricants du vaccin anti-hépatite B (OGM), ont orchestré des campagnes publicitaires éhontées, basées sur la manipulation de la vérité scientifique au profit du seul intérêt financier. Le succès de ces opérations a abouti à un drame effroyable pour les dizaines de milliers de victimes à travers le monde, dont certaines sont décédées, alors qu'elles avaient bien peu ou même aucun risque de contracter la maladie. Preuves à l'appui, les auteurs dénoncent cette manipulation, à la fois financière et médicale. Ils ont enquêté dans de nombreux pays, particulièrement en France, Italie, Etats-Unis et Grande-Bretagne.

Vaccins, mensonges et propagande
En deux siècles d'histoire, la vaccination a connu succès et scandales. Aujourd'hui il est bien difficile de savoir si les données scientifiques sont suffisantes pour créer sans cesse - et sans risque - de nouveaux vaccins. Nous savons par exemple que la population vaccinée contre la grippe est passée aux Etats-Unis de 15 % en 1980 à 65 % aujourd'hui, sans qu'aucune diminution des décès liés à cette maladie n'ait été observée.
Et pourquoi le nombre de décès par rougeole n'a pas diminué depuis 1988 en dépit d'une couverture vaccinale beaucoup plus étendue ? Ecrit par une spécialiste de la désinformation en matière de santé, ce livre contient les données les plus parlantes sur les vaccins. Par recoupements de chiffres, de dates, Sylvie Simon démontre magistralement comment l'industrie pharmaceutique, les médias et les gouvernements nous manipulent dès lors qu'il est question de vaccin.

L'aspartame - Sucre ou poison ?
Saviez-vous que... pratiquement toutes les études qui affirment l'innocuité de l'aspartame ont été financées par l'industrie, l'approbation de ce produit est due à des procédés dignes de la mafia, il peut être meurtrier pour les diabétiques, il existe des milliers de plaintes concernant l'aspartame qui font état de maladies multiples - dépressions, désordres neuro-dégénératifs, troubles intestinaux graves, problèmes de vue, rhumatismes, sclérose en plaques, lupus, Alzheimer, coma, cancer, tumeurs, prise de poids. Pourtant ce produit se trouve, scandaleusement, à portée de main dans les rayons de nos supermarchés. Il représente un chiffre d'affaires colossal. Ce qui explique sans doute le reste... Lisez et vous saurez...

Voir les dessins humoristiques de René Bickel :






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